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Comment Croire en Dieu
Et/Ou
Comment comprendre la Création du Monde
Il y a à mon sen= s trois grands mystères initiaux et trois actes de foi qui conditionnent not= re relation à Dieu.
Le premier
mystère de la création est celui de la naissance de l’u=
nivers.
La communauté scientifique ne sait pas grand-chose sur la créati= on du monde. Elle s’accorde cependant aujourd’hui à penser = que la théorie du « BIG BANG » serait à l’origine de= la création de notre monde. Cela se serait passé il y a environ = 15 milliards d’année.
Si t= out le monde semble s’accorder sur la forme de cette création, les avis diverge fortement sur les deux questions du « Pourquoi cette création »= et au « Qui ou Quoi » en a été le déclencheur.
En e= ffet si toute réflexion humaine ne peut qu’être nourrie du scientifique, la réflexion religieuse qui postule de la prése= nce de Dieu, ne peut ignorer ce scientifique.
Quel rôle occupe Dieu dans cette création ? Quel sens faut il donner à = cette création ? La Genèse a été écrite par des hommes d’un autre temps et ne dit p= as comment s’est passé le commencement, elle dit et affirme que D= ieu est le créateur. Et ma= lgré ce que beaucoup d’athées en pensent et en disent, c’est une appro= che très moderne de pensée :
En e= ffet ou « on croit en Dieu et en ses œuvres », ou « on ne peut pas dire que l’on croît en Dieu ». Mais on ne sa= it rien de Dieu, ni de ses raisons, ni de ses moyens – c’est ce que reconnaissent tous les scientifiques sérieux et qui les/nous captive= s – et ceci : que l’on ait une approche déiste, une approche = de doute ou une approche athée.
C= 217;est ce que nous disons et affirmons dans le début du « Je crois en Dieu » que nous récitons chaque dimanche pendant la messe :
Je crois en Dieu, le Père tout-puissant, créat= eur du ciel et de la terre.
C’est cela le débat fondamental : Ou l’univers est le fruit de l’absurde et du hasard des lois des mathématiques et Dieu n’existe pas – Ou l’univers est le fruit d’une volonté d’un amour et d’une espérance et c’= est Dieu qui en est l’auteur (au sens de incitateur).
Déc=
ider
entre ces deux alternatives
C’es=
t le
postulat fondamental
Et le seul vrai problème de la=
Foi.
La Genèse raconte comment= Dieu créa le monde en 7 Jours, c’est bien entendu un texte symboliq= ue et pas une description historique.
C= 217;est à mon sens à lire comme un Poème, écrit en d’autres temps, avec les interprétations scientifiques de l’époque. Ce poè= ;me dit la relation aimante de Dieu pour sa création et positionne notre vie comme une espérance.
Le second
mystère de la création est celui de la vie.
Nos scientifiques restent très prudents sur ce sujet. Les mêmes questions concerna= nt la création de la vie peuvent, tout comme celle de l’univers, se poser en terme soit de «&= nbsp;foi » ou de « destin choisi », soit en terme de créa= tion par le fruit de « l’absurde » ou du « hasard des mécanismes de la Chimie »= p>
L= 217;image de Dieu qui façonne la vie est un commun à toutes les civilisations et remonte dans la tradition de croyance humaine. Ce qui est = dans la Genèse est ce qui vient de la tradition juive ancienne.
Cont= rairement à ce qu’on peut parfois en dire c’est une image tr&egrav= e;s moderne et très actuelle. Elle dit combien Dieu est impliqué dans la création de= la vie – Elle dit également que Dieu a voulu un monde bon, fait p= our le bien.
Le troisiè=
me
mystère de la création est celui de la vie intelligente.
Le troisième mystère de la création n’est pas celui= de l’homme, car l’homme est une animalité parmi d’aut= res animalités, mais est celui de l’intelligence de l’homme.=
L= 217;homme intelligent surgit de l’animalité par filiation et évolution, dit combien Dieu amour est à l’origine de ce= tte création. Cette intelligence de l’homme qui lui donne une conscience, c’est ce qui distingue l’homme de l’animal. <= /p>
C= 217;est sans doute la seule preuve de l’existence de la volonté de Die= u et du fil conducteur de sa création.
Parc= e qu’il est intelligent et conscient, l’homme n’est pas prisonnier de D= ieu et/ou n’est pas soumis à ses interventions. Il reconnaît= son créateur en homme libre comme celui qui donne un sens à ce mo= nde et au mouvement de cette création (qu’on appelle l’&eacu= te;volution).
Bien= entendu on peut douter, ou préférer l’absurde et les thé= ories du hasard ; malgré= ; tout cela fait beaucoup de hasard : l’univers, la vie, l’intell= igence – même le loto ne fait pas aussi bien.
&= nbsp; &nbs= p; RETOUR (page précédente)